Le monde informatisé désincarne l’humain.  « L’ombre s’est faite humaine », comme le chantait Jean Ferrat*, n’est pas une menace lointaine. Elle couve et pourrait s’embraser de nouveau. D’ombre à silhouette, démarche de l’espoir où le maintien des liens est la voie pour redonner forme humaine en indiquant à l’ombre sa place.

 

* Nuit et Brouillard - Jean Ferrat (Chanteur) Bernard Claveau (Paroles), 1963.